Lorraine

Lorraine

D'où viens-tu ?

J’ai vécu aux quatre coins de la France, j’ai même essayé d’aller voir un peu plus loin si j’y étais, et j’ai atterri à Grenoble il y a 2 ans.

Pourquoi Tête au Cube ?

Ça me titillait depuis un moment, cette envie de faire du théâtre. Et l’an dernier j’ai décidé de sauter le pas. J’ai commencé par les cours avec Tête au Cube, et j’ai senti dès le premier cours que ça allait être chouette. L’année suivante, j’ai rejoint la troupe. J’ai tout de suite aimé le principe de la création collective, plein de petites mains et de cerveaux, ça donne toujours des choses plus belles et plus fortes. Et puis l’état d’esprit et la bienveillance, dans le cours comme dans la troupe, m’a mise en confiance. Et ça m’apporte tellement que je me vois mal m’en passer maintenant !

Sans texte, pendant 1 h, pas de craintes ?

Ah si évidemment, ça fout les chocottes. Mais j’en reviens à mon histoire de collectif, on peut toujours compter sur les autres en cas de problème, c’est rassurant ! Et j’adore découvrir en cours de route où va l’histoire.

Un instant à partager ?

Je crois que les deux moments dont je me rappelle le plus sont mon premier cours, quand je me suis dit "ah ben ouais tu peux le faire", et mon premier spectacle avec les petits cubes. La flippe d’avant le spectacle, l’excitation pendant, et puis la satisfaction d’y être arrivés tous ensemble, après un an de cours !

Une question que tu aimerais te poser pour finir cette interview (et la réponse) ?

Utilises-tu l’expression "ça fout les chocottes" dans la vraie vie ? 

Oui. J’ai cependant une petite préférence pour "ça fout les chocoboules". 

Le portrait chinois

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